C’est la question que se sont posées les chercheurs de l’université de Lancashire (Angleterre).
L’objectif est simple : trouver une alternative aux anti douleurs classiques lors de l’accouchement, par des méthodes de relaxation naturelles.
Ce test sera réalisé sur plus de 800 femmes pour analyser les résultats et d’évaluer la proportion de femmes qui peuvent se passer de médicaments, qui sont la cause d’effets secondaires comme les nausées et peuvent entrainer des complications (césarienne, recours aux forceps).
A terme, le souhait exprimé par les médecins, c’est de recourir aux médicaments qu’en cas d’accouchement difficile.
source : Telegraph